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La prothèse totale de genou (PTG) ou prothèse tricompartimentaire du genou est une intervention chirurgicale désormais courante, visant à remplacer les 3 compartiments de l’articulation du genou détruite par l’arthrose. Environ 100 000 PTG sont implantées par an en France.
Elle permet de soulager la douleur, restaurer la mobilité et améliorer la qualité de vie.
Pour de nombreux patients, l’un des objectifs après l’opération est de reprendre une activité physique, synonyme de santé, de plaisir et de sociabilité.
Mais une question revient souvent : est-il possible de faire du sport avec une prothèse totale de genou ?
La réponse est oui, sous certaines conditions.
À Toulon et Hyères dans le Var, le Dr Pierre Dekeuwer, chirurgien orthopédiste, accompagne ses patients dans cette reprise, en adaptant les activités sportives au type de prothèse, à la récupération musculaire et aux objectifs de chacun.
a. Une articulation artificielle complète et performante qui remplace les 3 compartiments du genou
La prothèse totale de genou remplace les 3 surfaces articulaires du genou, celle du fémur, celle du tibia et celle de la rotule. Elle peut conserver ou remplacer les ligaments centraux (ligaments croisés) du genoux. Elle conserve les ligaments et l’enveloppe périphérique du genou.
L’objectif est de reproduire la mécanique naturelle du genou : flexion, extension et stabilité.
b. Les progrès techniques récents
Les prothèses modernes utilisées par Dr Pierre Dekeuwer offrent :
• des matériaux plus résistants (titane, céramique, polyéthylène réticulé),
• une cinématique proche du genou naturel,
• une fixation stable et durable,
• une durée de vie moyenne de 20 à 25 ans.
L’utilisation de la chirurgie robotisée par le Dr Pierre Dekeuwer permet d’améliorer la précision de la pose et le résultat fonctionnel et probablement la longévité de la prothèse.
Ces évolutions rendent aujourd’hui possible la reprise du sport, à condition de respecter certaines limites mécaniques.
L’activité physique modérée est bénéfique sur plusieurs plans :
• Amélioration de la force musculaire, notamment des quadriceps et ischio-jambiers.
• Entretien de la mobilité articulaire et de la proprioception.
• Prévention de la prise de poids, facteur de contrainte sur la prothèse.
• Amélioration du moral et de la confiance dans son genou.
• Préservation de la densité osseuse autour de l’implant et du squelette des membres inférieurs
Ainsi, loin d’être contre-indiqué, le sport devient un allié de la réhabilitation lorsqu’il est adapté à la physiologie du genou opéré.
a. Les premières semaines
Durant les 6 premières semaines :
• la marche, la kinésithérapie et le renforcement musculaire doux sont prioritaires.
• l’objectif est de récupérer une flexion complète et un bon contrôle moteur et proprioceptif du quadriceps.
b. Entre 2 et 3 mois
Le patient peut reprendre des activités à faible impact à condition de ne plus avoir de douleur dans les actes de la vie quotidienne :
• vélo d’appartement,
• natation (brasse déconseillée au début, privilégier le crawl ou le dos crawlé),
• marche sur terrain plat.
c. Après 4 à 6 mois
Des activités plus dynamiques deviennent possibles surtout si elles étaient pratiquées avant l’intervention :
• vélo de route,
• randonnée,
• golf,
• danse,
• aquagym.
Le retour à un sport régulier se fait généralement entre 6 et 9 mois après l’intervention, selon la progression individuelle.
Le Dr Pierre Dekeuwer distingue 3 catégories d’activités selon le niveau de sollicitation articulaire :
a. Les activités conseillées
Ces sports renforcent les muscles sans générer de chocs importants :
• marche, randonnée douce,
• vélo, elliptique, home-trainer,
• natation, aquabike,
• golf,
• gymnastique douce, pilates, yoga (hors postures extrêmes).
Ces disciplines favorisent la coordination et la stabilité sans usure prématurée des implants.
b. les activités autorisées avec prudence
Pour les patients expérimentés ou en bonne condition musculaire :
• ski de piste sur terrain doux,
• tennis en double ou paddel (éviter les changements de direction brusques),
• danse de salon,
• sports collectifs légers (pétanque, tir à l’arc, bowling).
La reprise doit toujours être progressive et encadrée.
c. Les activités déconseillées
Les sports à impacts ou pivots violents augmentent le risque d’usure ou de complications mécaniques (déboîtement de la prothèse) :
• trail
• football, rugby, basket-ball, handball,
• sports de combat,
• squash,
• ski hors-piste, en poudreuse ou en pente raide.
Ces activités génèrent des contraintes rotatoires importantes sur les composants prothétiques.
a. Échauffement et étirements
Un échauffement articulaire et musculaire réduit les tensions et améliore la coordination.
Aussi les étirements doux après effort préviennent la raideur.
b. Progression douce
Il est crucial d’augmenter progressivement la durée et l’intensité :
5 à 10 minutes de plus par séance, plutôt qu’un retour brutal à un ancien rythme. En cas d’apparition d’une douleur, vous devez stopper votre exercice et le reprendre plus tard.
c. Équipement adapté
• Chaussures amortissantes,
• Surfaces amortissantes pour la marche,
• Vélo correctement réglé (selle à la bonne hauteur),
• Éviter les terrains irréguliers ou instables.
d. Suivi médical
Un contrôle radiologique et clinique régulier avec le chirurgien permet de vérifier la stabilité de la prothèse et la bonne tolérance à l’effort et aux contraintes.
Le Dr Pierre Dekeuwer, à Toulon et Hyères, évalue les amplitudes et la force musculaire avant d’autoriser certaines activités.
Le sport n’est bénéfique qu’à condition d’être soutenu par une bonne musculature qui malheureusement diminue physiologiquement avec l’âge (sarcopénie).
Les muscles stabilisent la prothèse et réduisent les contraintes sur les implants.
Les exercices recommandés sont :
• Le gainage,
• Le renforcement du quadriceps (en chaîne fermée),
• Le travail des fessiers et des ischios-jambiers
• La proprioception sur terrain stable ou légèrement instable.
Une pratique régulière (2 à 3 fois par semaine) améliore significativement la longévité de la prothèse.
Une sollicitation excessive ou mal encadrée peut provoquer :
• une usure prématurée de l’insert en polyéthylène qui sert d’amortisseur,
• un descellement (décollement de la prothèse de l’os),
• des microtraumatismes des tissus environnants notamment des ligaments,
• une inflammation chronique (synovite) ou une bursite.
Les douleurs persistantes ou les sensations d’instabilité doivent toujours conduire à une consultation rapide auprès du chirurgien.
Les études montrent que les patients actifs, ayant repris une activité physique adaptée, présentent :
• une meilleure mobilité articulaire,
• une musculature plus équilibrée,
• moins de raideur et de douleurs résiduelles,
• une plus grande satisfaction fonctionnelle.
L’activité physique bien conduite ne réduit pas la durée de vie de la prothèse ; elle favorise au contraire sa longévité en maintenant la tonicité musculaire et la stabilité de l’articulation.
Certains patients ayant un passé sportif souhaitent reprendre une activité exigeante.
Le Dr Pierre Dekeuwer chirurgien orthopédiste à Toulon et à Hyères, adapte la stratégie chirurgicale selon le profil :
• orientation vers des sports à effort continu et régulier (vélo, natation),
• limitation des pivots et impacts,
• mise en place d’un suivi clinique, biomécanique et radiologique régulier.
Avec un entraînement raisonné, il est possible de retrouver un niveau sportif satisfaisant, y compris après une prothèse.
Les prothèses de genou actuelles, utilisées par le Dr Pierre Dekeuwer, chirurgien orthopédiste à Hyères et Toulon dans le Var, sont plus performantes :
• conception anatomique, reproduisant la cinématique naturelle,
- utilisation de la chirurgie robotisée améliorant la précision de la pose et la cinématique de la prothèse
• des surfaces à haute densité résistance à l’usure et à frottement réduit,
• fixation osseuse améliorée (revêtement poreux réhabitable par l’os),
• versions personnalisées sur mesure grâce à la planification 3D et à la chirurgie robotisée.
Ces progrès autorisent aujourd’hui une reprise d’activité plus rapide et plus confiante, en particulier chez les patients jeunes et actifs.
Un patient de 66 ans, passionné de randonnée, a été opéré d’une prothèse totale du genou droit par le Dr Pierre Dekeuwer à Hyères pour une gonarthrose évoluée.
Après rééducation rigoureuse et renforcement musculaire, il a repris la marche en montagne à 5 mois post opératoires, sans douleur ni limitation.
Un an après l’intervention :
• amplitude de 0 à 130°,
• marche quotidienne de 10 km,
• satisfaction complète.
Cet exemple illustre qu’une reprise sportive raisonnée est non seulement possible, mais bénéfique.
Le Dr Pierre Dekeuwer, chirurgien orthopédiste à Toulon et Hyères dans le Var, propose une prise en charge personnalisée pour les patients opérés d’une prothèse totale de genou :
• accompagnement et conseil préopératoire (préparation musculaire) en collaboration avec les kinésithérapeutes de Toulon et Hyères dans le Var
• suivi personnalisé en rééducation en collaboration avec les kinésithérapeutes de Toulon et Hyères dans le Var
• conseils adaptés pour la reprise progressive du sport,
• bilans réguliers pour surveiller la stabilité et la longévité de l’implant.
Chaque patient bénéficie d’un programme sur mesure, conciliant confort articulaire et activité physique durable.
Faire du sport avec une prothèse totale de genou est non seulement possible, mais recommandé dans un cadre bien défini et avec une surveillance régulière par le chirurgien orthopédiste.
Les activités à faible impact comme la marche, le vélo, la natation ou le golf permettent d’entretenir la musculature et de prolonger la durée de vie de la prothèse.
La clé du succès repose sur :
• une récupération musculaire motrice suffisante et correcte,
• une progression raisonnée,
• la régularité de la pratique
• un suivi régulier par le chirurgien orthopédiste.
À Toulon et Hyères, le Dr Pierre Dekeuwer accompagne ses patients à chaque étape, en favorisant une reprise sportive encadrée, efficace et adaptée.
Grâce aux techniques chirurgicales modernes notamment la chirurgie robotisée et aux implants de nouvelle génération, il est désormais possible de retrouver plaisir, mobilité et liberté de mouvement, même après une prothèse totale du genou.

